LE MAROC ET LE DEFI ENERGETIQUE. (1° partie)

. 24 févr. 2007
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Dans un climat d’augmentation continue des prix du pétrole, les secteurs ayant une relations de prêt ou de loin avec tous ce qui est énergie se trouvent dans deux situation assez différente l’une de l’autre, d’un cote, les entreprises pétrolière voient leurs bénéfices s’accroître de façon spectaculaire, grâce a l’augmentation des volumes de ventes et a la stagnation des coûts d’exploitations, ce qui leurs permet d’augmenter leurs marges bénéficières.D’autre part, celles ayant une dépendance pétrolière assez grande de ces produits finals et de ces dérivés (entendez par cela, les fabricants de voitures, de machines industrielles, compagnies aériennes…) se trouvent dans une situation totalement différente a celle des antérieurement cités, la majorité de ces entreprises ne passent pas par leurs plus bons moments actuellement, par exemple, Renault voie ces ventes chuter de plus de 33% en un an, le bénéfices des grandes lignes aériennes est en constante baisse depuis plus de trois ans…Ici, la relation entre l’augmentation des prix du pétrole et le comportement du secteur est assez indirect en comparaison avec le premier cas, par contre, son effet est beaucoup plus puissant.Il est dans la nature humaine de vouloir résoudre plus rapidement que la normal les problèmes qui affectent de façon directe à son pouvoir d’achat.Une des premières solutions qu’on pourra envisager serais de chercher une autre alternative, surtout pour un pays assez dépendant de l’extérieur en matières d’énergie comme le Maroc.Pour développer ces nouvelles énergies, il doit y avoir avant tout une volonté politique assez forte et très convaincue sur le danger que peux présenter une non diversification de nos sources énergétiques à long terme, courant le risque de se mettre a la merci des multinationales pétrolières ayant la triste réputation d’être en relation étroite avec la classe politique de passage, résultat, l’utilisation par les hommes politiques de l’arme pétrolière parait de plus en plus préoccupante et logique a la fois, devant un tel panorama comment pourrais sortir son épingle du jeux un pays comme le Maroc qui n’a ni pétrole sous ces terres (en théorie) ni moyens de l’exploiter a l’étranger a travers de ces multinationales comme le font les grands (Etat unis, Grande Bretagne, France, Russie…) vu l’inexistence de grandes entreprises marocaines qui peuvent pénétrer d’autre marché au bénéfice du pays.J’avoue que je suis incapable de répondre a cette question, mais se dont je suis sur c’est que tant que le pays n’a pas une politique énergétique assez claire pour les 20 voir 30 prochaines années, qui montre ces réels besoins et ces perspectives de futur, il sera trop tard pour réagir a d’éventuels complications d’ordre politico-économique.