Skywalk

. 21 mars 2007
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Le "Skywalk" - promenade dans le ciel - a été inauguré ce mardi dans le parc national du Grand Canyon, dans le sud-ouest des Etats-Unis. Le "Skywalk" c'est une passerelle de verre en forme de fer à cheval.Suspendue dans le vide, elle permet de marcher à plus de vingt mètres de la terre ferme, et de contempler, à travers le sol et les parois transparents, plus de 1.200 mètres de vide. Une bonne dose d'adrénaline pour les amateurs de sensations fortes. Les ingénieurs du "Skywalk" affirment qu'il peut supporter le poids de soixante-dix Boeing 747 et résister à des vents de 160 kilomètres à l'heure.Le verre renforcé utilisé pour mettre au point l'attraction a été fabriqué à Berlin et à Cologne, en Allemagne. Coût total de construction : plus de vingt millions d'euros. Les fonds ont été avancés par un homme d'affaires de Las Vegas, mais rien n'aurait été possible sans l'accord de la tribu indienne Hualapai.

1946

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Un samedi du mois de novembre de l’année 1997, c’est la date la plus exacte que je puisse affirmer…ce jour restera gravé dans ma mémoire.
Comme tout les samedis matin, je suis parti voir mes grands parents (paix en leurs âmes), après le petit déjeuner traditionnel en famille, mon grand père réussit a me convaincre de rester avec lui pour l’aider a mettre de l’ordre dans son petit atelier de bricolage, ont est donc monté a l’atelier ou j’ai pu constater qu’il avait effectivement besoin d’un peu d’entretien, quand j’étais petit, c’étais le seul coin de toute la maison de mes grands parents ou je ne pouvais pas entrer, c’étais donc pour moi une source d’imagination inépuisable puisque j’ignorais ce qu’il y’avais dedans je me disais qu’il y’avais peux être des animales féroces, un trésor ou des fantômes (j’avais 4 ans a l’époque) c’étais la première chose qui m’étais venu a l’esprit en rentrant, je me rappel l’avoir raconté a mon grand père qui c’étais mis a rire d’une façon peu habituel en lui, ont a donc commencé a faire le ménage tout en parlant de beaucoup de choses, après quelque heures de dur labeur et alors qu’ont s’apprêtait a terminer le nettoyage je remarque un bout de livre caché derrière un placard, c’étais un album photos très anciens contenant des photos en noir et blanc avec pleins d’écritures en arabe dans presque tout les bords de pages, j’y découvrit des photos de ma mère, de mes tantes et de presque tout les membres de ma famille, dans la dernière page il y’avais une petite photo très abîmé d’un jeune couple avec une date écrite en bas du cliché…1946
Quand je l’ai montrée a mon grand père, il a étais très surpris de la revoir car cela faisais plusieurs années qu’il avais perdu tout espoir de la récupérer, c’étais la première photo faite a mes grands parents après leurs mariage, lui avait 21 ans elle 16.
Cette photo a étais le début d’une longue conversation, qui pour la première fois dans ma vie m’ouvrit la porte d’un monde jusqu'à l’instant méconnue pour moi, a travers son récit qui a durer presque trois longues et inoubliables heures j’ai eu accès a une partie de notre passé malheureusement oublié et écarté de notre mémoire collective, cette mémoire pleine de sagesse et de noblesse souvent sous estimée et entérinée dans le silence le plus austère.
L’enfance de mon grand père n’avais rien de différent de celle des enfants de son époque, fils de fermier qui jusqu'à ces 16 ans n’avais connue aucune autre vie que celle de berger et qui n’avais réussi a bien lire et a écrire que tard dans sa jeunesse, et que grâce a la force de son caractère et a sa volonté il sut se forger une vie respectable et honnête lui apportant tranquillité et stabilité tout en gardant cet esprit de patriotisme et d’amour a son pays dans son cœur, ce fut une époque de courage et de vaillance, de gens qui n’hésiter pas a mettre en péril leurs existence paisible pour servir la cause national, de femmes risquant leurs vies et celles de leurs enfants pour venir a bout de l’occupation, c’étais un temps ou le plus important était l’honneur du peuple et la dignité du pays.
C’était une époque où il fallait survivre plutôt que vivre, mais malgré toutes les difficultés qu’on pouvait imaginer, les gens étaient attachés à leurs terres et rêvaient tous d’un demain meilleur car ils étaient assoiffés de liberté.
Ce fut une vie pleine de rebondissements, de bons et de mauvais moments, comme toutes les vies, mais ce qui m’avais surpris a l’époque et aujourd’hui c’est cet amour de la terre qu’avait mon grand père tout au long de son histoire, c’étais comme si il voulait me dire « ma génération a servi son pays comme elle a pu, c’est votre tour maintenant de le faire »
Aujourd’hui malheureusement, cet esprit n’existe plus, je ne voudrais pas me mettre a chercher les causes mais ce que je peux dire c’est qu’en quelque sorte on est entrain de trahir la mémoire de nos ancêtres par nos attitudes peux respectueuse envers notre histoire, notre pays…et je ne parle pas de la mémoire officiel qu’on a tous lu et relu dans nos livres d’école, sinon de cette mémoire familiale qu’on a presque tous dans nos foyers et qu’on ne c’est jamais donner le temps d’écouter.
Asseyez-vous a coté de n’importe quelle vieillard et demander lui de vous raconter sa vie, vous allez être réellement surpris croyez moi…

300 le film au effets spéciaux les plus spéctaculaires de tout les temps

. 19 mars 2007
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Adapté du roman graphique de Frank Miller, 300 est un récit épique de la Bataille des Thermopyles, qui opposa en l'an - 480 le roi Léonidas et 300 soldats spartiates à Xerxès et l'immense armée perse. Face à un invincible ennemi, les 300 déployèrent jusqu'à leur dernier souffle un courage surhumain ; leur vaillance et leur héroïque sacrifice inspirèrent toute la Grèce à se dresser contre la Perse, posant ainsi les premières pierres de la démocratie.
Sortie dans les salles le 21 mars en France et le 23 en Espagne...enjoy it

Si vous croyer avoir des problèmes...allez voir ce film

. 17 mars 2007
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Cela faisais longtemps que je n'avais pas mis les pieds dans une salle de cinéma, du coup j'avais du mal a choisir entre les films de l'affiche, finalement je me suis décidé pour THE PURSUIT OF THE HAPPyNESS de will smith, chose que je n'allais pas regretter vu que j'ai vraiment aimé l'histoire du film basé sur la vie réel de Chris Gardner Représentant de commerce qui a du mal à gagner sa vie, et qui se retrouve seul avec son fils aprés que sa femme l'ai quitté. Chris se démène pour décrocher un job, sans succès. Lorsqu'il obtient finalement un stage dans une prestigieuse firme de courtage, il se donne à fond, même si pour le moment il n'est pas payé. Incapable de régler son loyer, il se retrouve à la rue avec Christopher. Le père et le fils dorment dans des foyers ou des gares, cherchant des refuges de fortune au jour le jour.Perdu dans la pire épreuve de sa vie, Chris continue à veiller sur Christopher, puisant dans l'affection et la confiance de son fils la force de surmonter les obstacles...

un vrai exemple de lutte et de volonté de réussite .


la bande annonce

Le racisme implicite…et le discours de l'élite

. 5 mars 2007
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Après une longue journée a la faculté, je viens de terminer mon dernier cours a 17H30, même si je suis un peu fatigué il faut dire que je suis content car on viens de me donner deux bonnes nouvelles (chose rare dernièrement) alors j'ai décidé d'aller me faire un café avec deux autres amis dans un centre commercial histoire de voir du monde, parler et changer un peu de la routine de toujours...
C’est drôle, mais ça me rappelais beaucoup mes pauses cafés de rabat, le fait d'être entouré de pleins de gens dans une terrasse et que mes deux copains parlent de business, l'un a une moto et l'autre a besoin d'une moto, je crois qu'ils ne se sont toujours pas mis d'accord sur le prix...
Ont a parlé pendant plus de deux heures de tout et de rien, du Maroc, du futur, de politique, du dernier but de Ronaldinho...
Après ont a décidé d'aller manger un kebab chez un copain qui nous a offert les boissons et les frites gratis sympa le mec, là, un des deux amis nous a raconté une histoire assez préoccupante le concernant en première personne qui m'as laissé un peu intrigué depuis...
L'histoire a commencé cela va faire une semaine maintenant, pour nous situer, mon copain marocain vît dans un appart depuis peut de temps, du coup il ne connaît pas beaucoup de voisins, même pas ses voisins de palier, jusqu’à la semaine dernière...
alors que mon ami s'apprêtait a prendre l'ascenseur dans son étage, soudainement et pour la première fois depuis son déménagement la porte de l'appartement d'à coté s'ouvre, il nous a avoué qu'il était assez curieux de voir a quoi ressemble son nouveaux ou nouvelle voisin(e) dans ce cas là, voisine, vu qu'une silhouette féminine commence a se dessiner dans l'obscurité, par signe de politesse il la salue mais quand cette dernière lève la tête pour le saluer a son tour l'expression de son visage change brusquement en voyant mon copain et lui jette un regard de mépris et de dégoût si profond dans ces yeux qu'elle lui a donné la chère de poule nous avoue t'il et d'un brusque geste elle referme la porte de sa maison d'une force brutal, cette même scène allait se répéter trois autres fois au courant de la semaine.
Cette histoire a étais la base d'une autre discussion beaucoup plus profonde sur le pourquoi de cette réaction...?
Il est clair que le racisme est devenue chose normal pour bons nombres de marocains vivant a l'étranger sous différentes formes qu’on peut classifier en deux catégories, une explicite et l'autre implicite.
Un exemple de racisme explicite peux être ce cas raconté par mon ami qui est assez clair et assez classique, mais moi je me demande; pourquoi cette femme a t'elle réagis si brutalement?
Le racisme implicite lui, est a mon avis le pire des deux, car plusieurs fois nous ne nous rendons pas compte qu’on est entrain de subir un cas de discrimination racial implicite car cela reste très difficile a identifier et encore plus a prouver, car combien de fois ont vous as refusé un crédit a la banque sans donner de réelles explications, ou combien de fois on vous a demandé des millions de papiers pour louer un appart…
Cependant, ces préjudices et ces comportements discriminatoires ne sont pas innés mais acquis, et leur apprentissage se fait principalement par le biais du discours public dominant. Ce discours, tel qu’il existe dans le débat politique, les articles d’information et d’opinion dans les journaux et revues, à la radio et à la télévision, dans les livres de classe et les publications académiques, est largement contrôlé par les élites. Si ce discours était systématiquement et majoritairement antiraciste, il y a fort à parier que le racisme ne serait pas prévalent comme il l’est aujourd’hui. Les élites sont à beaucoup d’égards les gardiennes de l’ordre moral de la société ; ce sont elles qui donnent les bons ou les mauvais exemples de pratiques sociales, car une déclaration d’une personnalité politique, un article d’opinion d’un grand reporter, un ouvrage écrit par un intellectuel célèbre peuvent avoir plus d’impact négatif que des milliers de conversations partisanes dans la rue, le bus ou au café.
Contrairement a ce que bons nombres de vous peuvent penser, le racisme contemporain en Europe n’a rien de nouveau, il s’inscrit dans une longue tradition. Il n’est pas causé par l’immigration, mais bien par le portrait systématiquement négatif fait de « l’Autre » dans ses représentations sociales à travers les âges. Il suffit de lire les écrits politiques, les journaux, les textes savants, les arts et la littérature, tout ce qui a été écrit au moins jusqu’à la deuxième guerre mondiale, pour voir à quel point les préjugés racistes à l’égard des Africains, des Asiatiques et des Amérindiens étaient répandus et flagrants. Ces pratiques et idéologies n’avaient rien d’exceptionnelles, elles constituaient la norme officielle.
Tous cela semble être oublié malheureusement, car aujourd’hui, le sujet principal de préoccupation, ce sont les problèmes causés par les immigrés, mais pratiquement jamais les innombrables problèmes auxquels Eux sont confrontés, et dont leurs pays d’accueil est le principal responsable, allant des multiples formes de discrimination au harcèlement administratif des permis de séjour et autres problèmes bureaucratiques fastidieux.
Personnellement je ne vois qu’une seule solution à ce discours raciste implicite, permettre a des intellectuels et des groupes, issus des minorités ethniques aussi bien que de la majorité, d’émettre des discours dissidents, antiracistes, consistants et critiques, car le futur de cette Europe voulu pluriculturel et pacifique passe par l’existence de ce genre de discours alternative.

POLEMIX...une autre façon de voir les présidentielles...Enjoy it

. 3 mars 2007
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